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    informations sur la grève générale et reconductible en Pays Basque

  • Posted: janvier 26, 2012 in L'insurrection

     

    Bonsoir tout le monde, comme vous avez pu le remarquer sur la toile en ce moment, car le mutisme suggestif des medias français a ce propos entrave la diffusion de l’information, une nouvelle loi étudiée en secret depuis un certain temps va voir le jour.

     

    ACTA Késako ?

     

    ACTA, Anti-Counterfeiting Trade Agreement ou Accord Commercial Anti-Contrefaçon, est un ensemble de lois qui vont permettre par la simple signature de n’importe quel pays du monde de pénaliser à grande échelle le partage de fichier copyrightés sur le net, mais pas que, et c’est bien ici que cette loi trouve son ampleur, elle va permettre aux grandes multinationales de réclamer la suppressions  de contre-façons. Jusqu’ici tout va à peu près bien, seulement reste à définir la dite contre-façon, ici les fichiers partagés, les médicament génériques (deux fois moins cher), même les graines non-conformes seront considérés comme des actes de piraterie. Les lois nous sont donc maintenant dictées par dans un premier temps des personnes ne représentant pas nos idées ? Mais en plus dans notre dos ? Et dirigée d’une main de fer par les multinationales possédant des revenus comparables aux PIB de grands pays (tels que celui d’IBM qui égale la Turquie).

     

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  • mardi 31/05   19 h 30 les indignés de Pau, réunis place clémenceau viennent de se voir saisir les tentes qu'ils voulaient installer il sont toujours sur placve et demandent un contact urgent avec Baiona envoyez moi un post pour avoir le portable des copains 

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  • Les Indignés de Bayonne :

     
    Rendez-vous mercredi à 19H00 à Bayonne !


    Le délibéré de justice concernant le campement des Indignés de Baiona sera rendu ce mardi à 10H00 du matin.

    Quelque soit la décision du Juge, rendez-vous est donné par l'Assemblée des Indignés de ce lundi 30 mai à tout le monde mercredi 1er juin à 19H00 :

            1) si le Juge a accepté la demande du député-maire UMP-Parti Radical Jean Grenet d'expulser le campement, rendez-vous donc mercredi à 19H00 devant la mairie de Bayonne pour :
                        -dénoncer cette atteinte à la démocratie directe et participative et à la mobilisation contre la dictature des marchés financiers,
                        -aller installer un nouveau campement dans un autre coin de Bayonne    
    C'est Grenet qui va troubler l'ordre public, pas les Indignés !

        2) si le Juge a refusé cette atteinte à la liberté d'expression et au droit de manifester, rendez-vous toujours mercredi à 19H00 mais cette fois au Village des Indignés, mail Pelletier dans le Petit Bayonne, pour :
                        -y célébrer la Fête de la Victoire, ouverte à tous(tes) les Indigné(e)s et à tous les voisin(ne)s du quartier : amener de quoi partager un repas, vos instruments de musique et votre bonne humeur !


    Article Sud-Ouest :

         

    Les Indignés de Bayonne menacés d'expulsion

    La mairie de Bayonne a entrepris un recours devant le tribunal administratif de Pau pour obtenir l'expulsion du campement. Les Indignés réfutent les arguments de la Ville

      

    La mairie de Bayonne a entrepris de faire expulser pour "trouble à l'ordre public" la petite centaine d'occupants du campement des "indignés" (photo Patrick Bernière) 
    ( Berniere Patrick)

     
     
     

    Branle-bas de combat, lundi matin, sur le mail Chaho-pelletier. Il est 10 heures et deux policiers municipaux viennent apporter au Indignés de Bayonne une convocation en justice. La Ville déclenche une procédure en référédevant le tribunal administratif de Pau, pour obtenir l'expulsion du campement installé là depuis mercredi dernier. Un bivouac protestataire, inspiré du mouvement espagnol dit du 15-M (pour 15 mai), ou encore appelé «Démocracia real ya» (1). Les «campeurs» dénoncent globalement «le système capitaliste et ses inégalités».

    Le cas des Indignés sera étudié à 16 heures, dans la capitale béarnaise. Face à l'échéance, il se sont organisés pour construire leur défense. En un heure, ils ont trouvé un avocat prêt à l'assurer gratuitement: Me Jean-François Blanco, du barreau de Pau.

    Et dans le même laps de temps, des équipes ont récolté «une centaine» de soutiens dans le quartier du Petit Bayonne. «On continue à faire signer ceux qui le souhaitent», indique l'un des collecteurs. Laura Rubino n'a pas hésité une seconde. Elle tient un petit restaurant, voisin immédiat du camp:  «Je leur ai écrit une lettre de soutien. Je peux témoigner qu'ils ne sont pas agressifs, que ce sont des gens très sympathiques. Ils ont créé une harmonie avec le quartier. Moi, j'y suis allée avec ma fille, c'était très sympa.»

    La mairie, elle, décrit dans sa requête devant le tribunal «le danger provoqué par cette occupation sans titre» pour le qualifier de «très sérieux». Le maire de Bayonne, Jean Grenet, estime qu'il s'agit d' "un campement protestataire qui, s'il se développe, est de nature à troubler l'ordre public». Le mail Chaho-Pelletier où les Indignés ont établi leur installation fait partie du domaine public. Ses occupants le sont «sans titre», c'est-à-dire sans autorisation municipale. Le site en bord de Nive entre dans l'emprise du secteur sauvegardé (centre historique) et le premier magistrat estime que «cette occupation porte donc gravement atteinte à l'intégrité et à la conservation du domaine public».

    De plus, elle présenterait «un risque imminent pour la santé et la salubrité publique, compte tenu de l'absence d'équipements sanitaires». Les Indignés s'insurgent à ce propos. A l'image de Yannick qui indique les toilettes sèches installées depuis le deuxième jour d'occupation. «Nous avons aussi installé une douche. En plus, nous avons une organisation rigoureuse, avec le nettoyage quotidien du site.» Sur place, un tableau des «taches quotidiennes» dresse la liste des obligations à respecter: «Voyez par vous même, indique Alain. On s'inscrit pour s'occuper notamment du nettoyage. On enlève tous les jours les mégots et les déjections de chiens. On est arrivé sur ce square où les gens menaient leurs chiens pour faire leurs besoins, on l'a nettoyé. Il est plus propre qu'avant notre arrivée.» Le guide indique ausssi les poubelles pour le tri sélectif: verre, carton, plastique, aluminium. «On a un système de ramassage qui fonctionne peut-être mieux que celui de la ville. On va régulièrement apporter des choses à la déchetterie», précise Yannick.

    Et quand le maire de Bayonne mentionne l'absence de «dispositif de secours» pour assurer «la sécurité des personnes», Itza sourit: «Nous avons des extincteurs et les numéros d'urgence affichés à la vue de tous. Et vu la configuration du site, il n'y a pas de problème d'évacuation.» Elle rebondit sur l'expression «sécurité des personnes»: «Dans la nuit de vendredi à samedi, une personne un peu éméchée est tombée dans la Nive et c'est des Indignés qui l'ont sortie de l'eau à l'aide d'une corde.» Confirmation par les pompiers du BAB.

    La mairie produit également un rapport de la police municipale pour qui fait état des appels de l'antenne voisine du Conseil général pour dénoncer «des personnes» venues «assouvir leurs besoins» sur l'espace enherbé qui longe le bâtiment public. «Vrai, concède-t-on sur le camp. Et l'intéressé a été réprimandé par nos soins. Car nous avons des règles strictes de respect du voisinage. Maintenant, tout ça est un peu risible, à deux pas du Petit Bayonne où les fêtards se soulagent sans être inquiétés dans les rues, les soirs de fête.»


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  •  Ce lundi 30 mai à 10H00 du matin, deux policiers municipaux ont délivré au Village des indignés de Bayonne une convocation à une audience qui aura lieu ce même jour à 16H00 au Tribunal Administratif de Pau.

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